The 5 Best Slow Claps
Le slow clap, c’est ce vieux cliché hollywoodien : un des héros lose, généralement vers la fin du film, mais il a losé avec deux coucougnettes d’un fort beau gabarit. Devant l’ampleur de la lose, il y a un terrible silence : la foule est outrée. Et alors y’a un gars qui est quand même subjugué par les coucougnettes utilisées, plutôt que par la lose engendrée, et il commence à applaudir.
Et dans une fort belle leçon d’amour plavovien, un autre le suit (généralement bouche bée, encore surpris d’oser applaudir). Et puis un autre, et encore un autre, jusqu‘à ce que la foule en délire célèbre à l’unisson les coucougnettes, le bonheur d‘être ensemble et la joie de garder la tête haute dans la lose. Et là, le mec qui a losé, il est un peu moins triste, et il contemple avec fierté ses coucougnettes parce que, n’est-ce pas, c‘était bien là le fin mot de l’histoire, êtes-vous bête, vous y avez cru. God Bless America.
Alors voilà, quelqu’un a recensé les 5 meilleurs slow claps pour vous, et c’est d’la bombe bébé.
Celui de Rasta Rocket reste tout de même une bien belle référence, God Bless Jamaica ! Par contre, un truc qui me chiffonne, c’est qu’il me semble bien avoir vu le #1, et je n’arrive pas à comprendre dans quel continuum espace-temps une telle chose ait pu se produire…
ah, can’t buy me love, toute ma jeunesse… J’aimerais bien le revoir
— Angrom · 2009-09-20 07:40 · #